La chanson du marin ou l’amour insaisissable
J’écoute le vent et la houle furibonde,
Je scrute les écueils bien plus que de raison ;
Je n’entends rien, mes yeux vagabondent sur l’onde ;
La sirène reste cachée dans sa vague ronde.
Quand même je voyagerais de par le monde
Pour lui arracher un morceau de son pardon,
Si je m’épuisais à abattre la cloison
Qui me sépare de sa chevelure blonde,
La sirène se cacherait dans sa vague ronde.
N’as-tu donc pas de pitié, ô sublime Immonde ?
Il est vain de vouloir te voir cette saison,
Je me meurs, et tu te caches dans ta vague ronde.
Serais-tu si cruelle, ô belle Pudibonde ?
Ce soir je mourrai d’amour ou de poison
Si tu ignores ton amant dans ta vague ronde.
J’écoute le vent et la houle furibonde,
Je scrute les écueils bien plus que de raison ;
Je n’entends rien, mes yeux vagabondent sur l’onde ;
La sirène reste cachée dans sa vague ronde.
Quand même je voyagerais de par le monde
Pour lui arracher un morceau de son pardon,
Si je m’épuisais à abattre la cloison
Qui me sépare de sa chevelure blonde,
La sirène se cacherait dans sa vague ronde.
N’as-tu donc pas de pitié, ô sublime Immonde ?
Il est vain de vouloir te voir cette saison,
Je me meurs, et tu te caches dans ta vague ronde.
Serais-tu si cruelle, ô belle Pudibonde ?
Ce soir je mourrai d’amour ou de poison
Si tu ignores ton amant dans ta vague ronde.
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